Le fils prodigue
Combien de fois avons-nous vu des croyants vivre sur la limite acceptable (du moins selon eux) du christianisme et du monde? Des gens qui désirent […]
repentance
Si mon peuple (Cantique)
Il s’agit de l’un des passages des Écritures qui m’a beaucoup inspiré dans mes premières années de service dans l’oeuvre d’évangélisation. J’avais le désir de voir Dieu guérir mon peuple le Québec et ce verset me donnait le mode d’emploi pour y arriver. J’avais à l’époque écrit ma première étude biblique sur ce verset, malheureusement, j’ai perdu la disquette sur laquelle j’avais sauvegarder mon texte. Il faudrait qu’un jour que je puisse prendre le temps d’étudier ce texte et de vous le partager par la suite.
Aimer nos ennemis (Luc 6.27-28)
Dans le nouveau commandement que Jésus nous a confié, c’est à dire de s’aimer les uns les autres comme lui nous a aimé, on retrouve […]
Jérusalem, Jérusalem ! (Matthieu 23.37)
Jésus n’était une personne comme les autres. Se sachant condamner et se rendant à son châtiment, il ne s’est pas arrêté à ce qui l’attendait, au contraire ses pensées étaient portés vers le peuple de Jérusalem, la ville qui repousse les messagers de Dieu… Jérusalem est connu pour être la ville sainte pourtant.
Méfions-nous de la religion car le cœur de l’homme se détourne si facilement de la volonté de Dieu. Faisons la différence entre la religion d’une personne et sa propre piété et son amour pour le Dieu créateur.
Accepter Jésus dans son coeur ? (Romains 10.9)
Le message de la Bible n’a jamais été d’accepter Jésus dans son cœur, mais de se détourner du péché par le moyen de la foi en Jésus-Christ. Jésus doit être autant notre Seigneur que notre Sauveur de nos vies. Il ne nous demande pas l’hospitalité mais au contraire c’est lui qui nous lance l’invitation de venir à Lui.
Audio : Livre « La tristesse d’un père »
Présentation par Sylvain Bigras Avant-propos chapitre 1 – Le fils prodigue Chapitre 2 – Le Dieu qui pleure Chapitre 3 – Comme […]
Audio – Témoignage de Louise
Témoignage de Louise Jodoin.
De l’abus au salut.
De l’abus au salut.
La faute à qui ?
Celui qui dans les Écritures prend la pleine part du blâme c’est Adam (1 Corinthiens 15:22). Ne fut-ce pas à lui que Dieu a donné cette interdiction formelle. N’était-il pas au côté d’Ève lorsqu’elle a été tentée et qu’elle a succombé. Il aurait été en mesure de changer le cours de l’histoire, mais au contraire il est dit qu’il en mangea également (Genèse 3.6).
Vidéo : L’illusion chrétienne – Laodicée
Présentation de Sylvain Bigras
