Hébreux 12.15

Le danger de l’amertume (Hébreux 12.15)

23 avril 2019 Sylvain 0
L’amertume s’attaque à tout le monde, elle ne fait pas de distinction, peu importe notre rang social, nos ministères dans l’église, nous sommes tous à risque de se retrouver prisonnier de ses racines. En laissant l’amertume agir, nous ne plaçons pas notre espérance en Dieu, au contraire on se prive des bénédictions divines. Au lieu d’avoir en nous sa pensée, nous broyons du noir. L’amertume est envahissante et contagieuse.
Jean 1.14

Grâce et vérité (Jean 1.14)

2 avril 2019 Sylvain 0
Si nous n’utilisons que la grâce et pardonnons sans appliquer la vérité nous faisons en sorte que la grâce ne soit pas reconnue à sa juste valeur. Dieu n’est pas insensé, Il connaît l’état du cœur de l’homme. C’est la même chose pour ceux qui appliquent la loi avec sévérité et sans la grâce. Cette fermeté fait en sorte que puisque nous sommes tous pécheurs, nous nous retrouvons à porter un fardeau qui nous écrase. Le légalisme enlève la paix que le Seigneur veut nous accorder. Il sait que nous ne pouvons vivre ainsi.
Matthieu 6.12

Pardon et discipline (Matthieu 6.12)

2 avril 2019 Sylvain 0
Le fait de pardonner ne signifie pas qu’il ne faut pas reprendre une personne qui a péché contre nous. Jésus a également affirmé que si ton frère a péché contre toi va et reprend le (Matthieu 18.15). Ceci est important afin qu’un péché sérieux ne se répète pas. Contrairement à l’usage courant, nous n’avons pas à attendre que la personne qui nous a offensés vienne vers nous pour demander pardon. Jésus a choisi volontairement le mot « va »! Les premiers pas doivent être faits par la victime, c’est la personne la mieux placée pour faire comprendre les conséquences du péché commis dans sa vie. Cela permet à celui qui a commis l’acte dans saisir toute la gravité.
Jean 13.14-15

Laver les pieds – L’exemple du maître (Jean 13.14-15)

20 octobre 2018 Sylvain 0
En lavant les pieds de ses disciples, Jésus démontrait de manière significative la grandeur de son amour envers eux. Déjà, il avait quitté la gloire céleste pour marcher sur cette terre, Lui qui de riche qu’il était s’est fait pauvre (2 Cor 8.9). C’est Lui le maitre de tout, toutes choses existent pour sa gloire et le voilà qu’il choisit de se dévêtir pour prendre la position de serviteur, d’un esclave. Il n’était pas venu pour être servi, mais pour servir (Marc 10:45). C’est ce dont Paul a témoigné lorsqu’il écrivit que Jésus est venu sur terre pour se dépouiller lui-même, ayant pris la forme de serviteur (Philippiens 2.6-7).